Town Ground
Après avoir abandonné mon blog pour (trop) longtemps déjà, je reviens pour présenter un mix qui a une histoire.
Son histoire? C'est que j'ai voulu faire quelque chose de spécial en mémoire de toutes les attaques terroristes qui ont connu une recrudescence en cette fin de mois de Ramadan 2016: trois pays touchés en trois jours, plus les pays dont on n'a pas parlé dans les médias, ça fait en effet beaucoup surtout quand les morts dépassent les 200.
C'est ce qui explique le début de ce mix Reggae. En effet le premier titre n'est absolument pas reggae mais est du pur électronique. On y distingue nettement les bruits de la guerre qui décime la planète. Ensuite vient dans une playlist à l'allure de film le reggae.
Un avant-dernier titre de Dance africaine par la future Madonna africaine (voir playlist pour son nom), expliqué par le dernier titre "look to the future"... Le futur de la musique et le futur de l'humanité. Un futur qui n'existera que si nous vivons en paix!
Playlist: https://1drv.ms/b/s!AkQ46CLvFYxihCTpMlmSxmBKT4f7
Mix:
J'ai profité de ce lundi 29 février 2016, un 29 février ça se fête que diable!, pour réaliser un mix en sélectionnant le meilleur de l'Indie Dance et de la Nu Disco, le tout dans un style très House Old Skool (old school quoi) au niveau musical et sonnore. Des titres qui vallent la peine, dont seulement 2 sur les 12 sélectionnés ont été entendus et réentendus partout alors que franchement les 10 autres vallent la peine et sont du même niveau de qualité.
Bon, j'en ai profité pour faire une petite blague dans le titre du DJ-Set: "30 Février", la classique quoi.
Voici le mix:
Bon, après cela j'aurai un petit coup de gueule concernant le public qui désormais ne vient plus danser et s'éclater mais «va voir un DJ».
On ne va pas «voir» un DJ comme on va voir un groupe en concert, excusez-moi mais ça me semblait jusqu'à présent évident. Il y a encore quelques années quand on allait dans un festival (genre Tomorrow Land), dans une salle, une discothèque, c'était pour danser et s'éclater sur de la bonne musique. Le DJ était le plus souvent enfermé dans sa «bulle de verre» ou "aquarium", on ne venait pas le «voir» mais bien «l'écouter».
Or maintenant on va «voir» un DJ comme on va voir un spectacle. Le DJ s'il veut être respecté est obligé d'assurer un Show de star du show-biz, c'est tout juste (et parfois ça arrive) s'il ne crie pas dans un micro «faites du bruit!». Ben merde alors...
Il n'y a plus de pistes de dance. Tout le public, collé les uns contre les autres, sans espace pour pouvoir danser, peut juste sautiller sur place, lever les bras et les tourner et, pire encore, du moment que le public peut «voir» «son» DJ et bien il est content de cette situation.
Moi je dis qu'il faut choisir son métier: ou être un gars du show-biz et monter un groupe ou être DJ.
Mais ce ne sont même pas les DJs qui le demandent, ils s'y font c'est tout. C'est le public qui le demande.
Avant il y avait des danseurs pros et des chauffeurs de salle pour assumer l'ambiance et voilà que maintenant c'est le DJ qui doit tout faire à lui tout seul: mixer, chauffer la salle via le micro et danser sur son pupitre.
Putain, la Old Skool est morte!!!
Le 10 janvier 2016 je réalisai mon premier mix de housemusic, un mix effectué avec une nouvelle technique (pour moi).
2016 Began' un jeu de mot entre «2016 began» (2016 a commencé) et «2016 be gang» (pas besoin de traduire).
C'est aussi la première fois que je mets un son en vidéo (enfin la seconde fois, mais la première fois ça va pas), mais inutilement: pas de photos de femmes à poils.
Donc en premier la version vidéo ensuite la version son sans image.
Bon ben j'oubliais presque que j'avais il y a quelques semaines réalisé un mix House, un peu progressive, un peu électro et un peu classique. EDM mix come back, mais pour les fêtes préférez le Holy House #11.
Bref The Holy House #12:
« Tinder » est décrit comme une plateforme de rencontre. Drôles de rencontres en vérité. Mais commençons par le début. Un jour, un gars me dit qu’il y a moyen de trouver facilement une petite-copine via internet. Perso, ayant déjà essayé sur des sites réputés « sérieux », j’en avais toutes les raisons de douter.
Il me sort « en six mois j’en ai baisé dix ». Ce sur quoi je lui réponds que si c’est pour ça, va gare du Nord ça reviendra moins cher. C’est gratuit qu’il me dit. Bon une plateforme gratuite, totalement gratuite, il y en a pas mille. Une plateforme gratuite où les filles te demandent pas d’envoyer tel code par SMS à tel numéro, il n’y en a qu’une à ma connaissance : Tinder !
Donc, lentement, l’idée se fait dans mon cerveau d’installer l’application Tinder sur mon smartphone, et finalement dans la série « j’ai testé pour vous » voici donc Tinder.
D’abord sur le gars-là plus haut, il s’en est tiré dix en six mois et aucune n’est revenue le faire chier chez lui : c’est donc avouer que c’est un mauvais coup, surtout connaissant ses goûts : de grosses (vraiment des grosses) salopes cherchant à combler un manque affectif en donnant leur cul au premier venu. Ensuite, et ça aura toute son importance plus loin, bien que chômeur et travaillant occasionnellement au noir, ce gars ne paie pas de loyer : son père est proprio !
Alors il y a des gars qui cherchent du cul, c’est sûr. Mais, comme je le disais, ça coûte moins cher gare du Nord... Parce que des nanas qui cherchent de l’affectif, dans ma tranche d’âge (je viens d’avoir 38 ans il y a deux jours), c’est dur, il y en a-t-il seulement une ? En général les femmes de nos jours se contentent, par un effet de déplacement de l’amour conjugal vers l’amour maternel, de l’affectif que leur apporte leurs enfants ; voire leur chien...
Trouver des femmes obsédées du cul alors ? Ben je dirais que depuis l’apparition des sex toys (jouets érotiques) dérivés des vibromasseurs, un truc à piles leur apporte de facto plus de plaisir qu’un pénis fut-il de 30 cm de long et de 5 cm de diamètre. Car même un tel pénis, surtout un tel pénis, ne vibre pas, lui !
Mais le fait est qu’un vibromasseur ou un sex toy plus développé ne répond pas à la question suivante posée un 25 décembre : « y a-t-il quelqu’un qui voudrait sortir avec moi pour danser ou aller boire un coup ? ». Traduisez cela ainsi : « putain on est la fin du mois, j’ai plus de fric, il me faut trouver un, mec qui me paye la discothèque » !
Ah oui, le sex toy ça fait du bien sexuellement, plus qu’un homme, les enfants et le chien c’est très affectueux, souvent plus qu’un homme, mais tout ça ça paie pas le resto, le bar, la discothèque, les voyages, les cadeaux et tout le reste.
Je crois que là tout est dit !
Bref j'en ai tiré deux slams, le premier lucide, le second inspiré par l'alcool donc me laissant rêver comme vous pourrez le constater...