Bon ben j'oubliais presque que j'avais il y a quelques semaines réalisé un mix House, un peu progressive, un peu électro et un peu classique. EDM mix come back, mais pour les fêtes préférez le Holy House #11.
Bref The Holy House #12:
Town Ground
Bon ben j'oubliais presque que j'avais il y a quelques semaines réalisé un mix House, un peu progressive, un peu électro et un peu classique. EDM mix come back, mais pour les fêtes préférez le Holy House #11.
Bref The Holy House #12:
« Tinder » est décrit comme une plateforme de rencontre. Drôles de rencontres en vérité. Mais commençons par le début. Un jour, un gars me dit qu’il y a moyen de trouver facilement une petite-copine via internet. Perso, ayant déjà essayé sur des sites réputés « sérieux », j’en avais toutes les raisons de douter.
Il me sort « en six mois j’en ai baisé dix ». Ce sur quoi je lui réponds que si c’est pour ça, va gare du Nord ça reviendra moins cher. C’est gratuit qu’il me dit. Bon une plateforme gratuite, totalement gratuite, il y en a pas mille. Une plateforme gratuite où les filles te demandent pas d’envoyer tel code par SMS à tel numéro, il n’y en a qu’une à ma connaissance : Tinder !
Donc, lentement, l’idée se fait dans mon cerveau d’installer l’application Tinder sur mon smartphone, et finalement dans la série « j’ai testé pour vous » voici donc Tinder.
D’abord sur le gars-là plus haut, il s’en est tiré dix en six mois et aucune n’est revenue le faire chier chez lui : c’est donc avouer que c’est un mauvais coup, surtout connaissant ses goûts : de grosses (vraiment des grosses) salopes cherchant à combler un manque affectif en donnant leur cul au premier venu. Ensuite, et ça aura toute son importance plus loin, bien que chômeur et travaillant occasionnellement au noir, ce gars ne paie pas de loyer : son père est proprio !
Alors il y a des gars qui cherchent du cul, c’est sûr. Mais, comme je le disais, ça coûte moins cher gare du Nord... Parce que des nanas qui cherchent de l’affectif, dans ma tranche d’âge (je viens d’avoir 38 ans il y a deux jours), c’est dur, il y en a-t-il seulement une ? En général les femmes de nos jours se contentent, par un effet de déplacement de l’amour conjugal vers l’amour maternel, de l’affectif que leur apporte leurs enfants ; voire leur chien...
Trouver des femmes obsédées du cul alors ? Ben je dirais que depuis l’apparition des sex toys (jouets érotiques) dérivés des vibromasseurs, un truc à piles leur apporte de facto plus de plaisir qu’un pénis fut-il de 30 cm de long et de 5 cm de diamètre. Car même un tel pénis, surtout un tel pénis, ne vibre pas, lui !
Mais le fait est qu’un vibromasseur ou un sex toy plus développé ne répond pas à la question suivante posée un 25 décembre : « y a-t-il quelqu’un qui voudrait sortir avec moi pour danser ou aller boire un coup ? ». Traduisez cela ainsi : « putain on est la fin du mois, j’ai plus de fric, il me faut trouver un, mec qui me paye la discothèque » !
Ah oui, le sex toy ça fait du bien sexuellement, plus qu’un homme, les enfants et le chien c’est très affectueux, souvent plus qu’un homme, mais tout ça ça paie pas le resto, le bar, la discothèque, les voyages, les cadeaux et tout le reste.
Je crois que là tout est dit !
Bref j'en ai tiré deux slams, le premier lucide, le second inspiré par l'alcool donc me laissant rêver comme vous pourrez le constater...
Mise à jour du 17/12/2015 en fin d'article.
Paf badaboum! C'est pour un mix de rap que je vous retrouve... Ah, ça c'est vrai c'est pas dans mes habitudes même si j'aime plutôt bien écouter les mixes de Lady S le vendredi de 22h à 23h sur la station de radio MNM.be.
Et justement elle avait, il y a quelques temps, passé 30 ou 45 secondes d'un titre sur lequel j'ai flashé: "Red Bull & Vodka", c'était une version différente de celle que j'ai choisie pour mon mix. Pour mon mix j'ai choisi l'excellente version de La Fouine, total délire mais aussi total conscient, sur son album "Drôle de parcours".
Et, tiens, une note à La Fouine: moi je navigue pas dans les coins à VIP mais je nage dans les coins à VIPO car ici à Bruxelles (et en Wallonie) ce sont VIPO et AIS qui font les lois LOL (c'est une petite blague belge au passage spéciale dédicace à La Fouine).
Bref j'avais flashé sur "Red Bull & Vodka", puis je me suis rappelé d'un fameux gars qui en a fait pas mal pour la musique rap et le hip-hop mais également pour la musique house et techno sur la côte Est des USA: Afrika Bambaataa! Ah, the Big One! Je me suis rappelé que pas mal des premiers DJs House (quasi tous des afro-américains) lui devaient beaucoup. Donc que moi aussi je lui devais beaucoup.
Donc un mix hip-hop où les mélomanes électros découvriront pas mal de points communs avec la tech-house, et dédicacé à Afrika Bambaataa et à ses fils spirituels dont MC Solaar, Guru, Eminem et bien entendu La Fouine.
Playlist / Tracklist: http://1drv.ms/1ltPz75
En fait il fut un temps où il était à la mode d'opposer musique électronique et hip-hop. Moi-même je m'y suis laissé prendre.
En 1989 je découvrai, à 11 ans, la House Music à la radio. Plus tard je devais, pour des raisons d'équilibre mental en péril, devenir rastafari et n'écouter plus que du Reggae. Si j'avais réellement écouté ce que j'écoutais (notamment via le Dub) jamais je n'aurais fait ce que j'ai fait: détruire toutes mes cassettes de musique House!
Des années plus tard je devais croiser la route d'un groupe Hip-Hop en Belgique, nommé si je me souviens bien DLP et ayant comme MC Rob1 (Rob-One). Descendant dans leur studio un jour je ne vis rien d'étonnant tout d'abord: platine vinyle, table de mixage et micro; puis ce qui me sembla totalement incongru: un ordinateur!
Que faisait un ordinateur dans un studio de rap?
Je dirais que c'est toute la différence entre les consommateurs de musique et les créateurs de musique. À l'époque je n'étais qu'un simple consommateur. Aussi je ne pouvais comprendre.
Ce n'est que bien des années plus tard, 13 ans plus tard à peu près, que je voulu me lancer dans la création musicale (avec un retour soudain à l'électro). J'avais déjà un ordinateur mais ne m'en servais pas jusqu'alors pour créer quoi que ce soit.
N'ayant pas de connaissances musicales type solfège, j'investissais donc non pas dans un synthétiseur mais dans un logiciel (comportant néanmoins un synthé virtuel MIDI).
Et c'est là finalement, d'abord à force de composer mes propres morceaux, ensuite à force d'écouter des styles musicaux variés sur SoundCloud dont du rap (mais tout d'abord du funky-groovy), que je devais découvrir l'extraordinaire point commun entre musiques électroniques et musique Hip-Hop, mais aussi d'autres styles musicaux parfois.
À savoir que la manière de composer un titre House, Dance, Chillout, ou autre électro à partir de samples et de vocals est axactement la même que celle utilisée pour composer un morceau Hip-Hop. Enfin, en général.
D'où l'ordinateur dans le studio de rap vu des années plus tôt.
Si on aime pas le rap c'est qu'on est tombé sur du mauvais rap, et il y en a beaucoup. De même si on aime pas la musique électro c'est qu'on est tombé sur de la mauvaise musique électro et il y en a beaucoup aussi.
Mais heureusement il y a beaucoup de bons titres, puis les goûts et les couleurs ça se discute pas...
Bon ben je crois bien que j'ai plus les lyrics de ce titre hip-hop ou plus exactement trip-hop, mais en gros c'est:
Come as a dog, as a friend, as a girl, a a lover, as a no melody up...
L'amusant aussi «Eat a bone, eat a rest, take a taste of our death», enfin, amusant, selon son sens de l'humour évidemment.
Bref, un titre de 4 min 8 sec:
Récemment (il y a deux semaines), je réalisais un mix plutôt hardcore, enfin selon mes goûts qui sont plutôt orientés Deep House, ce qui, au vu des deux mixes Progressive House précédents semble devenir une habitude.
The Holy House #11 donc. Et si ça continue il faudra que je renomme cette série.
La playlist est ici: http://1drv.ms/1PNY87Y
Sinon et bien après ce set plutôt Electro House (mais pas dépourvu de lyrics), je replace ici mes deux sets Progressive House.
D'abord BLAZDIG (playlist: http://1drv.ms/1i4GYVZ)
Et ensuite le DiscoDeck #5 qui n'a rien de disco sinon qu'il s'agit pour la plupart des morceaux de versions Progressive House de titres à la base Disco ou House typiques.
Playlist: http://1drv.ms/1WbkTHX
À remarquer qu'un titre est présent aussi bien dans BLAZDIG que dans ce set ici, c'est "Devotion" dans son remix de 2015 qui rappèlera des souvenirs très 80's (1989) ou 90's (1990 tout juste) à certains. Il est bien mieux présenté dans le DiscoDeck #5 que dans le précédent.
Selon les "dissidents" du web, les Anonymous, le Parti Pirate, etc., il faudrait sérieusement réfléchir à remplacer la rémunération des auteurs et artistes via le copyright par une rémunération "à la tâche" ou de type salarié.
Je bondis aussitôt car cela ne peut qu'entraîner une nivellation par le bas de la culture et de l'offre culturelle.
En effet, observons les artistes travaillant déjà sous système salarié plutôt que sous copyright. Tels les humoristes, chroniqueurs, journalistes, éditorialistes, etc. Et bien ils ne sont pas libres! Ils sont tenus en laisse!
Un exemple? France-Inter et ses chroniqueurs-humoristes du matin. Combien n'ont déjà été virés? Car critiquer Sarko, c'est fun, mais oser critiquer les nouveaux gourous modernes ça ça passe pas! Quoi? Vous ne vous souvenez pas de cet humoriste viré pour avoir titillé les écologistes en général dans leurs contradictions et, en particulier, Nicolas Hulot?
Si c'était le système de rémunération salariée qui s'appliquait à l'ensemble des artistes, il est à douter que le rap ait pu voir le jour, idem pour la musique Punk, idem pour Serge Gainsbourg et sa Marseillaise version Reggae, et même mieux il est à douter que l'industrie du disque accompagnée de Hollywood ait pu un jour réussir à imposer les droits civiques égaux pour les blancs et les noirs aux USA.
Car qui dit salarié dit "tu obéis à ton patron et tu fermes ta gueule".
Sous un système salarié dès qu'un artiste chanterait, peindrait, écrirait des choses qui sont pas dans l'air du temps ou pas dans les goûts du pouvoir et bien cet artiste se ferait tout simplement jeter à la rue. L'artiste quand il est salarié perd toute liberté d'expression.
Finalemetn la rémunération par copyright ou la rémunération libre (licenses CC, Free of DRM, etc., mais au choix de l'artiste) reste le seul moyen d'assurer la diversité des expressions, la diversité de la culture, donc finalement la richesse culturelle qui nous entoure.
Mais à cela ils n'ont pas pensé, ceux qui se disent "pirates" simplement car ils téléchargent du Disney ou du Hollywood illégalement, car si c'est là leurs références culturelles et bien on est mal parti...