Ça mérite quelques explications préalables ce track Indie Pop-Rock Alternatif. Bon il s'agit bien évidemment d'une histoire tournant autour de la tentation représentée à mon cerveau bien fragile par les jolies ladies ("Temple of Temptation", "Temple de la Tentation", tel est son titre); bref rien de bien nouveau dans le rock comme thème.
Mais je dois ici m'expliquer sur la présence, parmi mes paroles, lyrics, en anglais de deux extraits de prières de moniales bien connues; pour l'une extrait du Notre Père (Father Us) et l'autre de l'Ave Maria, en français. Si vous y voyez une quelconque allusion sataniste, vous êtes totalement à côté de la plaque.
Certes, ce n'était évidemment pas du sérieux néanmoins, pas à prendre au pied de la lettre. C'est tout simplement pour moi une façon de faire sauter à la figure l'incohérence entre la Création telle que Dieu l'a faite et le Dogme Catholique Romain. Comme dénoncé par moi-même dans une brochure à l'odeur de souffre, l'Église Institutionnelle a considéré pendant un millénaire-et-demi que tous nos sens et facultés humaines (goût, odorat, ouïe, vue, toucher, mais aussi pensée et rire) étaient sources de multiples péchés, les «Sept Péchés Capitaux» dont même de nos jour la "cime pécheresse" reste encore le «Péché de la Chair», le sexe pour le plaisir donc.
Or nous ne pouvons nier que c'est Dieu qui nous a créés tels que nous sommes, avec tous nos membres et la dose de plaisir qu'ils induisent.
Heureusement, il y a également un autre sens à cette présence des deux extraits de prières: oui il faut éviter la tentation et le péché de ne voir en la femme qu'un objet sexuel et pas un être à part entière!
Bref voici, en téléchargement libre et gratuit le titre de 3 minutes 44 secondes:
Beaucoup l'ignorent mais le noyau Linux est, contrairement à ce que l'on pourrait penser, le plus répandu dans le monde, devant MacOS et iOS mis ensemble et devant Windows! Car si un ordinateur n'est pas à la portée de tout le monde, même au fin-fond de l'Asie, de l'Amérique Latine ou de l'Afrique on trouve beaucoup de smartphones Android. Et justement Android est une distribution Linux!
Comment expliquer alors, que si répandu sur smartphones, ayant une part de marché prédominante en ce domaine, Linux soit quasiment absent du classement en ce qui concerne les ordinateurs de bureau (desktops) ou portables (laptops); hormis pour quelques touche-claviers développeurs à temps plein?
Poser la question de cette manière c'est déjà y répondre. Linux est né d'une expérience de développeurs (programmeurs informatiques) s'adressant à d'autres développeurs. C'est-à-dire que contrairement à Android, les distributions (distros) Linux d'ordinateur ne sont pas pensés en fonction des besoins d'un utilisateur lambda, mais en tant qu'environnements de développement, de codage, de programmation.
Ce qui ajoute aux "linuxiens" comme on les appelle, outre le snobisme des lignes de code et de commandes, le snobisme du logiciel Open Source, qui quel qu'en soit le destinataire (développeur ou utilisateur final) doit obligatoirement être distribué sous la forme de code source (les lignes de programmation) même si une compilation (transformation en programme directement exécutable) préalable à distribution grand-public ne demanderait sommes-toutes pas une grande perte de temps.
C'est toute la différence entre la distro Linux Android et les distros Linux d'ordinateur. Si Android a su conquérir un large public c'est parce que justement l'open source n'est non-seulement pas la règle mais est, en plus, prohibé! Vous téléchargez l'application, elle s'installe et elle fonctionne. C'est ce dont à besoin un utilisateur final. À la limite l'app est dite "open source" car son code source peut être éventuellement consultable et téléchargé par des développeurs. Donc, en toute logique, un bon logiciel Open Source se distribue sous sa forme de code source aux développeurs et sous sa forme compilée et directement installable et exécutable aux utilisateurs finaux!
Logique difficile à faire comprendre au snob linuxien.
Pourtant, parfois, oui il arrive que des développeurs de logiciels (même gratuits) suivent pour Linux la même logique que leurs versions Windows et vont à l'encontre de l'instinct du snob du clavier.
J'en ai eu l'expérience comparée en voulant acheter un seul et même VPN à la fois pour mon Windows, pour mon smartphone Android et pour mon Linux Debian desktop Raspberry Pi OS (64 bits) sous Raspberry Pi 400. Eh bien, aucune des solutions Open Source téléchargeables sous forme soit de code source pour l'un (Mozilla VPN), soit de lignes de configuration d'OpenVPN en format texte pour l'autre (VeePN) ne fonctionnait! Soit non-installable malgré le suivi des dizaines d'étapes expliquées; soit plutôt que de faire de mon PC Linux un vrai client VPN, voulant toucher à mon routeur central (ce qui grâce à Dieu a été empêché par celui-ci).
Seul NordVPN, téléchargeable en version compilée sur Linux Debian (et autres), comme sous Windows et sous Android, a directement fonctionné n'ayant demandé pour l'installation qu'une seule et unique ligne de commande dans le terminal après téléchargement, fonctionnait parfaitement et continue à fonctionner!
Alors certes, si NordVPN pour l'utilisateur final n'est pas Open Source, le code source, les lignes de programmation (en partie assez grande en C++), peut être téléchargé par les développeurs qui le désirent et à la condition qu'ils aient souscrits à un abonnement.
On découvre donc que c'est le snobisme de l'Open Source qui ruine les ambitions du monde Linux d'égaler en parts de marché Windows sous PC...
Il peut s'avérer utile d'enregistrer une émission de radio via ordinateur afin de pouvoir disposer d'un fichier sonore lisible sur un lecteur MP3. Et comme de moins en moins de radios proposent sur leur site de télécharger lesdites émissions (surtout quand il s'agit de mixes ou de musique), il faudra donc réinventer la cassette audio version numérique. L'heure des fameux "podcasts" qui ont fait la gloire des débuts de l'internet et d'Apple (via iTunes) semble en effet avoir sonné.
D'abord seul le son du site web de la radio doit être réglée au maximum, ou à un niveau élevé à tout le moins. Après cela je peux, et je dois (pour le bien de mes oreilles et de mes voisins) diminuer le volume-système. Je peux même le couper que l'enregistrement continue toujours au même niveau de décibels.
Ensuite, avec Audacity, je peux ajouter des méta-datas, des informations sur l'enregistrement qui peuvent s'avérer utiles ultérieurement.
Enfin, Audacity offre un large choix de formats audios et de qualité parmi ces formats.
Puis pour terminer; avec Audacity vous pourrez aussi enregistrer vos propres sons ou retravailler des sons que vous possédez... Pas seulement enregistrer un flux audio d'une webradio donc!
N'hésitez pas quand vous téléchargez Audacity d'aussi vous rendre sur le téléchargement des formats audios "rares" (M4A, etc.) présenté sur leur site (Ffmpeg).
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Je replace ici un Indie Pop-Rock de 2012; il y a 12 ans d'ici...
Avant de placer ma nouvelle musique Grunge New-Wave qui est comme un cri: "Forget the sex war" ("oublie la guerre des sexes"), je note bien que j'ai réalisé ce titre Indie Pop-Rock plutôt déprimé à une époque où j'étais alcoolique; d'où l'état dépressif exprimé dans ce morceau...
Et maintenant parlons musique, le texte en anglais est le suivant:
Récemment on apprenait que la Belgique, ses autorités législatives, veut interdire les communications chiffrées vers et à partir de son territoire. À la fois inutile et à la fois faux-cul. Faux-cul car tous nos services de sécurité (police, renseignements généraux [contrôle des partis et groupuscules idéologiques], ministère de l'Intérieur et des Affaires Étrangères [espionage et contre-espionage]) disposent déjà des logiciels leur permettant de casser un échange chiffré, que ce soit par mail, par audio, par texto, etc. Tout ce qui leur faut est évidemment l'autorisation de personnes responsables des services: juge, magistrat, ministre.
Snowden notait par ailleurs que «interdire le chiffrement des échanges entre individus causerait beaucoup de morts»; j'approuve sauf que j'estime que ces morts ne seraient pas dû aux États mais bien plutôt aux mafias et gangs variés qui naviguent entre la politique et la drogue.
Car, comme déjà dit, les États disposent déjà de tous les moyens pour déchiffrer ce que nous chiffrons, et le fameux désormais Pegasus en témoigne. Par contre un logiciel même moins élaboré que ce dernier coûte suffisamment cher pour ne pas être à la portée de simples individus mais seulement d'États ou groupes d'états (Union Européenne, OTAN, etc.).
Du jour où l'on interdira le chiffrement; dès lors regarder dans le slip du voisin ne sera plus qu'un jeu d'enfant à quelques centaines d'euros et donc accessible à tous. Fini les enquêtes de journalistes d'investigation, fini les plaintes de citoyens, fini en fait énormément de choses; du moins "fini sans risques de se faire écraser par une voiture".
Le législatif belge d'argumenter que «cela facilitera nos enquêtes». Enquêtes sans contrôle de la Justice et des Ministres compétents certes, mais cela ne constitue pas une avancée démocratique. Pour le reste au contraire: un enquêteur sera vite repérable au fait que, lui, dispose d'une application de chiffrement.
Si j'ajoute à cela que en Belgique, suite aux attentats islamistes, on a fait passer un registre national des numéros de téléphone tant fixes que portables, tant avec abonnement que à cartes prépayées, le risque pour les citoyens ne provient pas vraiment de l'État (qui a déjà les moyens de le surveiller même sur du chiffré comme déjà dit ici) que des différents groupes extrémistes et mafieux.
Que ce registre des numéros soit piraté et on ne comptera plus les emmerdes subies par les citoyens...
Bref, il faut sauvegarder notre droit à chiffrer nos communications pour continuer à vivre sous la loi démocratique et non sous la loi des gangs et des mafieux!!!
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J'en profite donc pour partager ici un utilitaire de chiffrement de fichiers (tous types de fichiers, mais réellement efficace qu'avec les fichiers pur texte) de ma composition, DChiffre_3-0.py. Il a été programmé initialement sous Linux via Python. Il fonctionne à partir de Python 3. Et comme c'est écrit en Python, moyennant la présence de cet interprétateur sur l'ordinateur il peut être utilisé tant sous Linux que Windows que Mac-OS. Quoique si la compatibilité entre chiffrement et déchiffrement d'un Linux vers un Windows (et l'inverse) a été testée, j'ai un doute sur le MacOS car je me demandecomment sur un Mac est effectué l'encodage "Latin-1".
Alors je sais qu'il existe un module Python nommé "cryptography" et dédié à ce genre de choses mais je ne sais pas l'utiliser (je débute à peine en langage Python). C'est donc avec le premier algorithme inventé par les hackers de l'époque de la sortie de MS-DOS et de la programmation BASIC que j'ai effectué les opérations de (dé)chiffrement.
Code source Python 3, retravaillé ce 28/08/2024 ici:
Dossier ZIP du jeu dernière version au 24 Avril 2024...
Ouf! Correction de dernière seconde, des mois après je me rends compte que pour choisir si la balle part à gauche ou à droite, le choix ne doit pas être entre -angle et angle mais bien évidemment entre 180-angle et angle! Je viens donc de corriger cette erreur ce 23 Avril 2024. Autre amélioration: l'usage du contrôle ball.colliderect(objet) au lieu des coordonnées pures comparées.
Jeu rétro (retrogame) de Pong / Squash Libre (gratuit) et Open Source, fonctionnant sous tous OS (Linux, Windows, MacOS) et tous matériels (PC Intel/AMD, Raspberry Pi ARM, avec ou sans GPU). Tout cela grâce au code Python 3 et au module pygame; avec une nette amélioration car dès la version 1.0 de pygame c'est okay: en effet les couleurs sont maintenant entièrement définies par des tuples RGB 24 bits et non plus par des noms.
Nécessite le module pygame.
Dans un terminal il faudra donc entrer pip install pygame
Alors cette fois c'est une version totalement programmée avec le module pygame d'un jeu rétro vintage de pong / squash tel qu'on en trouvait sur TRS-80 dans les années 1975-1980's.
La partie la plus compliquée de la programmation de ce jeu, étonnamment, a été la prise du pseudonyme du joueur. Rien ne donnait juste. Ni l'IA (AI) Bard de Google qui fournissait un code totalement inopérant, ni les différentes documentations sur Raspberry Pi qui ne donnaient que du code partiel. Mais, finalement, sur base de cette documentation et en croisant différents chapitres de cette documentation (ainsi qu'en expérimentant), après 5 (cinq) jours j'ai résolu le problème.
Les codes et les ressources (écran d'accueil, sons de balle, musique de fond, module scoremanage) sont à télécharger en une fois en ZIP ici (voir tout en haut)...
Pour la musique de fond du jeu, je n'ai pas choisi une musique typiquement rétro-gaming, c'est un choix, j'aurais pu, mais j'ai décidé après l'avoir écouté par hasard au moment où je codais de placer un sample de "Satisfaction" des Rolling Stones (extrait avec Audacity)... C'est un Rock d'époque du jeu néanmoins... Donc le fichier "satisfaction.mp3".
J'aimerais présenter à nouveau ici un mix de mars 2015 comprenant pas mal de titres sortis fin 2014. Un retour 8 à 9 ans en arrière toujours utile dans la mesure où quasiment aucun des meilleurs titres sélectionnés dans ce mix House music n'est passé dans le monde de la musique commerciale; du pur underground donc.
En réalisant ce mix j'ai voulu raconter une histoire, presque une autobiographie. Ça commence par un petit down (partie deep house), puis évidemment fallait pas le prendre ce Cristal (Crystal) car la folie s'installe de plus en plus (de la folie douce à la folie furieuse). Un final en «moi, fou? Et toi alors?»...
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Créations électroniques d'un dissident du numérique bien intégré. Musique style 90's et (un peu) programmation style années 1980 (80's). Les eighties et nineties au cœur.